MIRAH UVICOCI

MIRAH UVICOCI

Autosuffisant en produits animaux et halieutiques :
Les maires de Côte d’Ivoire et le MIRAH signent un accord

Dans le but de faire de la Côte d’Ivoire, un pays autosuffisant en produits animaux et halieutiques, selon la vision du Président de la République, Alassane OUATTARA, le Ministre Des Ressources Animales Et Halieutiques, Sidi TOURE a mis en place plusieurs stratégies dont la Politique Nationale de Développement de l’Elevage, de la Pêche et de l’Aquaculture (PONADEPA) sur la période 2022-2026. A cet effet, un accord a été signé entre le MIRAH et l’UVICOCI, lundi 15 avril 2024 à Abidjan.

Le Ministère des Ressources Animales et Halieutiques (MIRAH) et l’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire (UVICOCI) représenté par son président, le Ministre DANHO Paulin unissent donc leur force pour atteindre l’objectif principal de ce programme, qui est de renverser la tendance et de faire de la Côte d’Ivoire, un pays autosuffisant en produits animaux et halieutiques.

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Selon Sidi TOURE, ce partenariat avec l’UVICOCI permettra notamment à la Côte d’Ivoire d’atteindre cet objectif, celui de rendre ce pays autosuffisant en produits animaux et halieutiques.

« L’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire, est assurément l’un des partenaires privilégiés qui puissent nous permettre d’atteindre cet objectif si cher au Gouvernement et à son Excellence, le Président de la République, Alassane OUATTARA ».

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Le président de l’UVICOCI a quant à lui souligner l’importance de son institution dans ce programme qui permettra à la Côte d’Ivoire de sortir de cette dépendance de l’extérieur en termes de produits animaux et halieutiques.

« Nous voulons prendre toute notre place, car nous sommes conscients de ce qu’ensemble, nous pourrons efficacement adresser toutes les questions liées aux ressources animales et halieutiques sur nos territoire ».

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« Nous fondons donc beaucoup d’espoir dans cette convention de partenariat pour permettre à plusieurs communes de développer les filières animales et halieutiques sur leur territoire. Cela participera de l’attractivité de celles-ci, mais aussi à créer de l’emploi pour nos jeunes filles et garçons et résorber ainsi, en partie, la question du chômage de cette franche importante de la population », a-t-il poursuivi.

Sandrine KOUADJO

 

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